La ​musique d'une vie 1 csillagozás

Andreï Makine: La musique d'une vie

Une ​ville, une gare, sur „une planète blanche, inhabitée”. Une ville de l'Oural, mais peu importe. Dans le hall de la gare, une masse informe de corps allongés, moulés dans la même patience depuis des jours, des semaines d'attente. Puis un train, sorti du brouillard, qui s'ébranle enfin vers Moscou. Dans le dernier wagon, un pianiste raconte au narrateur la musique de son existence. Exemple parfait, elle aussi, de „l'homo sovieticus”, de „sa résignation, son oubli inné du confort, son endurance face à l'absurde”. Pour le pianiste s'ajoute à cela la guerre. La guerre qui joue avec les identités des hommes, s'amusent parfois à les intervertir, les salir aussi, les condamner : à la solitude, à l'exil, au silence, la pire des sentences pour un musicien. Mais rien – pas même la guerre – ne parvient à bâillonner tout à fait les musiques qui composent la vie d'Alexeï, celles qui n'ont cessé, sans qu'il le sache, d'avancer à travers sa nuit, de „respirer sa transparence fragile faite… (tovább)

Eredeti megjelenés éve: 2001

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Seuil, Párizs, 2004
144 oldal · ISBN: 2020542854

Népszerű idézetek

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Il se disait qu’il devait y avoir dans cette vie une clef, un code pour exprimer, en un langage bref et univoque, toute la compléxité de ces tentatives, si naturelles et si douloureusement embrouillées, de vivre et d’aimer.
Saját fordításban: Azt mondogatta magában, hogy ebben az életben kell, hogy legyen egy kulcs, egy kód, amely rövid és egyértelmű szavakban ki tudja fejezni az egész bonyolultságát az életre és szeretetre irányuló próbálkozásoknak, melyek oly természetesek és oly fájdalmasan kuszák.

114. oldal

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Sa mère lui parlait aussi de ces jeunes commédiennes qui affirmait ne jamais avoir le trac et à qui Sarah Bernhardt promettait avec une indulgence ironique: «Attendez un peu, ça viendra avec le talent…»
Saját fordításban: Édesanyja mesélt neki azokról a fiatal színésznőkről is, akik állították, hogy soha sincs lámpalázuk, és akiknek Sarah Bernhardt ironikus megbocsátással ígérte: „Várjanak egy kicsit, a tehetséggel az is eljön…”

48. oldal


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